Louxor et Karnak

Appris dans les livres d'histoire l'égypte est restée pour nous pleine de magie. Nous voila partis à l'assaut de son histoire, de ses hiéroglyphes et de ses temples.


Le temple de Louxor est le complément du Grand temple d'Amon à Karnak, en tant qu’il était dédié à la triade thébaine, mais surtout au ka divin du roi et à la forme génitrice du dieu dynastique sous son aspect d'Amon-Min.





 Situés à un peu plus de deux kilomètres l’un de l’autre, les deux temples étaient autrefois reliés par un dromos bordé de sept cents sphinx à tête de bélier et de stations ou chapelles reposoirs où s'arrêtaient les barques de la triade thébaine lors de la grande Fête d’Opet.

Sous le règne de Nectanébo Ier, cette allée cérémonielle fut complétée par des sphinx à visage humain (ou androsphinx) du côté du temple de Louxor

L'obélisque de granit rose de 25 mètres érigé au premier plan est le frère de celui qui se trouve place de la Concorde. Son socle est orné de quatre babouins.


Toutânkhamon et son épouse

Le dieu Min

Min est une très ancienne divinité de la fertilité et de la vigueur procréatrice. C'était également le protecteur des voyageurs et des caravanes partant dans le désert oriental.


Il est « le taureau de sa mère », la déesse ciel qu'il féconde chaque soir pour donner naissance au soleil.


Temple d'Hatchepsout

Hatchepsout est la cinquième reine-pharaon de la XVIIIe dynastie de l'Égypte antique. Hatchepsout est la fille de Thoutmôsis Ier et de la Grande épouse royale Ahmès (fille d'Amenhotep Ier et de la reine Ahmès-Néfertary). Son demi-frère, Thoutmôsis II, qu'elle avait épousé pour assurer la légitimité de ce dernier, monte sur le trône après le décès de son père ; mais, sans doute d'une santé fragile, il disparaît jeune.


Officiellement, la reine-pharaon n'est que corégente de Thoutmôsis III, mais c'est incontestablement elle qui détient la réalité du pouvoir. Pour se donner un surcroît de légitimité, elle propage le mythe de sa naissance divine.


Après son couronnement, Hatchepsout remplace la robe fourreau et sa couronne de reine par le pagne court, le némès et la barbe postiche. Les nombreuses statues la représentant en homme attestent sa volonté d'être reconnue en tant que roi. En l'an VII, elle fait élever son temple funéraire à côté de celui de Montouhotep II (-2009/-1997), dans une falaise de la montagne thébaine, à Deir el-Bahari, temple que les Égyptiens nommaient "djéser djéserou", Le saint des saints. Elle fait construire sa tombe dans la Vallée des Rois près de celle de son père, et, à Karnak, le huitième pylône de même qu'une chapelle-reposoir pour la barque d'Amon, dite la Chapelle Rouge.


Cette femme énergique sut se maintenir au pouvoir pendant une quinzaine d'années, grâce à l'appui de dignitaires compétents et dévoués dont le sort était sans doute lié au sien : Pouymrê, deuxième prophète d'Amon et grand architecte ; le chancelier Néhésy, qui prit la tête de l'expédition vers le pays de Pount ; Hapouseneb, son vizir et Grand Prêtre d'Amon ; Sénènmout (ou Senmout), son favori, qui était aussi le précepteur de la princesse Néférourê.




La vallée des rois

est une région d'Égypte située sur la rive occidentale du Nil à la hauteur de Thèbes (Louxor). Elle est connue pour abriter les tombes (hypogées) de nombreux pharaons du Nouvel Empire. La plus ancienne tombe connue sur le site est celle de Thoutmôsis Ier et, à partir de Thoutmôsis III, à l'exception d'Akhénaton, tous les pharaons des XVIIIe, XIXe et XXe dynasties y seront enterrés (approximativement de -1539 à -1075). La dernière tombe connue étant celle de Ramsès XI (tombe KV4). La vallée des Rois abrite également les tombeaux de certaines épouses et enfants de pharaons, ainsi que celles de nobles dont les pharaons ont voulu récompenser la valeur. C'est à partir de la période du règne de Ramsès Ier que la vallée des Reines est usitée, même si quelques épouses seront encore enterrées avec leurs maris par la suite.

Les colosses de Memnon


Sur la rive occidentale de l'antique Thèbes, sur la route qui mène à la Vallée des Reines, se dressent deux imposants colosses de pierre. Ils sont les derniers vestiges du gigantesque temple funéraire d'Aménophis III (XVIIIe dynastie) qui n'existe plus de nos jours. Ils représentent le pharaon assis, les mains posées sur les genoux ; de chaque côté du trône sont représentées les figures de sa mère, Moutemouia, et de son épouse, Tiyi. Sur les deux cotés du trone figure une représentation symbolique de l'union de la Haute-Égypte et de la Basse-Égypte, représentés par deux « Nil » nouant le papyrus et le lys symboles du « double pays ». Statues monolithiques en granit d'Assouan hautes de 18 mètres (plus de 20 m avec les couronnes aujourd'hui disparues) et d'un poids de plus de 1300 tonnes, ces colosses sont malheureusement fortement endommagés.



Temple d'Edfou

Edfou est le temple le mieux conservé de toute l’Egypte antique. Dédié au dieu faucon Horus, il fut érigé à l’époque ptolémaïque sous Ptolémée III.


Le maître des lieux, l'Horus d'Edfou


Le naos et la reproduction de la barque funéraire.

La scène de l'accouchement

Rosetta

Notre Bateau
 

 Notre Cabine


La piscine
 
Notre groupe


 Une soirée parmi tant d'autres


Croisière sur le Nil